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Forum RP basé sur l'univers du manga Naruto. L'histoire se déroule bien après le scénario de la série.
 
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 Haji Shigo

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2 participants
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Shigo Haji
Jônin
Shigo Haji


Masculin Nombre de messages : 7
Date d'inscription : 26/08/2007

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MessageSujet: Haji Shigo   Haji Shigo Icon_minitimeDim 26 Aoû - 22:51

I Personnage

Nom : Shigo (après la mort)
Prénom : Haji (humiliation, déshonneur)
Âge : 17 ans

Description :
Comme tous les membres de son clan, Haji est de taille moyenne, avec une stature peu impressionnante. Il a développé la musculature typique des manieurs d'armes, discrète et davantage tournée vers la vivacité et la précision que la force brute. Ses paumes, ses doigts et divers autres endroits de son corps présentent des cals tout aussi caractéristiques ; il a pourtant des pieds fins et d'assez jolies mains. Il prend d'ailleurs soin de ses ongles, même s'il les porte courts, passe de l'huile sur le dos de ses mains et les frotte avec une pierre ponce pour éviter que les cals et autres marques laissées par son entraînement ne soient visibles.
Il a le visage de son père, en particulier ses yeux en amande, quoiqu'avec des traits plus doux, plus ronds et enfantins que la physionomie type des Nara - son visage est ovale, son menton peu marqué, son nez légèrement retroussé, ses sourcils fins avec une ligne nette - ce qui lui donne l'air moins âgé qu'il ne l'est. Il n'en a pas non plus le regard prématurément vieilli ; ses yeux sont plus grands, ses iris ronds, larges, noir parcouru de petites taches de lumière reflétée et très mobiles, ce qui lui donne un regard bien plus vivant et expressif. Il n'apprécie guère de se voir adresser la parole comme à un jeune adolescent, et tente de compenser son physique ambigü en s'exprimant de manière calme et logique, avec une syntaxe irréprochable ; hélas, ses moues boudeuse ou amusée et sa gestuelle produisent l'effet inverse et, à moins de le connaître déjà, ses interlocuteurs le croient d'un ou deux ans plus jeune.
Haji a grandi dans une famille à forte dominante féminine, dont il a hérité les habitudes vestimentaires, les gestes précis et discrets, la nonchalance quelque peu lascive et les moeurs - ce qui lui attire souvent du mépris, parfois des remontrances ou des ennuis plus sérieux. Il a aussi la réputation - complètement imméritée - d'être un paresseux, en raison de sa ressemblance physique avec son père et de certaines de ses manies.
Depuis son plus jeune âge, il s'habille suivant les coutumes de sa famille - sa tante Miyuki l'a d'abord fait porter des yukata jusqu'à ce qu'il soit en âge d'aller à l'académie, puis elle les a taillés pour en faire des vestes plus courtes et lui a cousu des pantalons assortis ; après qu'il a obtenu son diplôme, elle lui a cousu d'autres vestes épaisses et solides, et portant nombre de poches, attaches et caches en tous genre dans leur doublure. A présent, l'uniforme de Haji se compose d'un ample et épais pantalon noir à coupe droite, d'un T-shirt de mailles d'acier dont les manches s'arrêtent en dessous de ses coudes, d'une veste noire à larges manches, doublée et descendant jusqu'à mi-cuisse, fermée par un obi gris anthracite de cinq centimètres de large, qui fait trois fois le tour de sa taille et qu'il noue dans son dos, légèrement décalé à droite, et bien sûr de la veste et des sandales règlementaires. Pendant son temps libre, il porte des vestes et des pantalons plus légers, des yukata ou bien des kimono plus formels, suivant les occasions. Quel que soit le vêtement, veste ou kimono, il le ferme pan droit par dessus le gauche, comme tout le reste de sa famille.
Il est brun et a des cheveux fins, raides et lisses ; il les a toujours gardés longs et attachés en une queue de cheval sur le haut de son crâne, exceptées deux mèches plus courtes qui lui encadrent le visage. En dépit de ce que nombre de gens pensent, cette coiffure n'a pas pour but d'imiter celle de son père : sa mère et sa soeur Fubuki attachent leurs cheveux de la même façon. Haji met également un point d'honneur à entretenir une pâleur à la limite du cadavérique, comme tous les Shigo. Il s'est fait percer les oreilles l'été de ses quinze ans, et porte des anneaux de métal sombre aux lobes, ainsi qu'un barbell du même matériau dans le bas du cartilage de l'oreille droite.
Pendant ses heures de travail, il transporte une multitude d'armes, cachées à de multiples endroits dans la doublure de sa veste. Il modifie régulièrement son arsenal, pour ne pas emporter d'armes déchargées et aussi adapter son équipement à chaque mission. Il a néanmoins ses préférences, des armes auxquelles il est très attaché, pour diverses raisons, et qu'il emporte toujours avec lui. La première est un crâne de chat protégé par des plaques d'acier, attaché à une longue chaîne de vertèbres en métal ; il s'agit de la première arme qu'il a appris à manier en dehors des kunai et shuriken, et il lui parle et le caresse parfois comme un véritable animal. La deuxième est un ninja-tô que lui a offert sa mère pour son quatorzième anniversaire ; c'est aussi la seule arme qu'il porte en évidence, pendue à son obi. La dernière est une paire de rouleaux tissés de fils d'acier larges d'une vingtaine de centimètres et long de deux mètres, aux bords tranchants comme des rasoirs, recouverts de feuilles de papier sur lesquelles il a inscrits des sceaux d'invocation ; ils sont la première arme que Haji ait conçue, scellée et dressée lui-même, et il n'en est pas peu fier.
Quand il se trouve dans un groupe, il a tendance à se placer en retrait. Il fait preuve d'une politesse froide envers ses collègues de travail et d'une amabilité enfantine vis-à-vis des voisins, clients ou fournisseurs de sa famille, mais ne leur parle pas plus que nécessaire. Il s'éloigne rapidement pour trouver un endroit où s'asseoir pour observer les autres, de préférence en hauteur - sur une branche d'arbre, un muret, voire un toit.
[Note : au Japon, on porte toujours les kimono le pan gauche par dessus le droit, ce sont les morts qu'on habille en croisant dans le sens inverse.]
Personnalité :
Haji est avant tout le fils de sa mère : il l'aime énormément, est très fier d'être son fils et travaille surtout pour être à la hauteur de ses attentes. Si elle ne s'est pas occupée de lui au quotidien quand il était enfant, c'est Furuka qui a dirigé son éducation en tant que shinobi, et elle y a porté beaucoup d'attention. Elle a transmis à Haji sa fierté d'être une Shigo, sa dévotion envers sa famille et sa foi en les valeurs ancestrales du clan ; comme elle, il établit toutefois une distinction entre son clan et sa famille, qui n'inclut que la première lignée. Il est déterminé à assurer à ses proches un statut important, tant parmi le reste de son clan que dans la ville-haute ou le village ; il travaille dur malgré ses réticences afin de se faire bien voir des autorités, et se montre poli et serviable auprès des voisins, fournisseurs et clients de sa famille. Il ne supporte pas qu'on médise de son clan et de son mode de vie, et est particulièrement rancunier envers ceux qui y font insulte.
S'il a appris très tôt à le cacher, Haji n'en est pas moins méprisant vis-à-vis de l'écrasante majorité des gens. Hors de sa famille, rares sont ceux qu'il respecte suffisamment pour leur accorder la moindre miette de confiance. Il est poli avec à peu près tout le monde tant qu'on ne l'insulte pas ouvertement, mais tient les gens à distance. Il n'a que très peu d'amis parmi ses camarades de village et il limite soigneusement la proximité entre eux et lui ; il est tout aussi rare qu'il tienne un collègue en bonne estime. Il vit pour ainsi dire dans un cercle fermé, et passe la plupart de son temps libre au domaine ou bien à remplir des courses pour ses proches.
Haji a hérité de l'esprit vif de sa mère - il ne possède pas le génie des Nara mais il comprend et apprend vite, pour peu qu'il prête attention à quelque chose. Il est d'un naturel curieux et cherche à expérimenter les choses par lui-même pour s'en faire sa propre opinion ; il ne se fie pas à la parole d'autrui, à moins de connaître la personne et de l'estimer compétente sur la question. Il aime expérimenter des choses nouvelles, qu'il s'agisse de fabrication d'armes, de sceaux, de techniques ninjutsu, de méthodes de manipulation, de jeux ou de n'importe quoi d'autre qui puisse attirer son intérêt. Dans les moments de calme, il lit à peu près tout ce qui lui tombe sous la main, des romans pornographiques aux livres d'histoire, en passant par les traités de stratégie militaire et les poèmes classiques. Le seul sujet qui puisse le contraindre à abandonner un livre est la politique ; la doctrine de son village l'agace.
Haji se conforme aux jeux de séduction et de manipulation en usage dans sa famille. Etre un garçon ne l’empêche pas de flirter avec certains de ses camarades ; au contraire, les voir bondir à chacun de ses gestes ambigus l’amuse énormément. Il choisit néanmoins les victimes de ce manège avec prudence, pour éviter toutes représailles sérieuses, et réserve le rentre-dedans ostensible à la provocation. S’il est réellement intéressé par quelqu’un, il est parfaitement capable de subtilité et de discrétion, et peut rendre sa compagnie très agréable pour obtenir ce qu’il veut. Il ne dédaigne pas travailler dans la maison de thé de sa famille, à l'occasion, et a quelques clients favoris qui lui assurent des fins de mois plus que confortables. Il a une notion des genres et des rôles assimilés floue et peu conventionnelle : il ne se soucie pas du sexe de ses partenaires, ou des interdits traditionnellement posés par la virilité.
Comme la plupart des Shigo, il a un goût prononcé pour les objets macabres, voire morbides. Il choisit et fabrique avec attention les armes qu'il anime afin qu'elles soient les plus sinistres possibles et possède, en plus de son armement, divers objets de la vie courante qu'il a décorés et animés pour le seul plaisir de les voir s'agiter dans sa chambre. Grandir dans une maison de thé lui a donné l'habitude de veiller tard dans la nuit et de faire la grasse matinée ; il a d'ailleurs le sommeil très lourd pour un ninja. Il n'aime pas le goût de l'alcool et préfère les liqueurs très sucrées au sake, par exemple. Il raffole du sirop, des fruits et des sucreries en général, dont il avale une quantité impressionnante pour compenser les déjeuners qu'il saute régulièrement.

Histoire :
La mère de Haji se nomme Furumashita (tombée du ciel). Elle appartient au clan Shigo, une famille de shinobi arrivée à Konoha quelques années après le début de la guerre entre Taki, Kusa et Ame, spécialisée dans le jûinjutsu (art des sceaux maudits).
A son arrivée, le clan Shigo comportait principalement des femmes, et dirigeait une maison close. En s'installant à Konoha, ils ont assez rapidement prospéré et acheté une maison de thé, à côté de leur demeure. Les Shigo ont une éducation plus proche de celle des kunoichi traditionnelles que de celle des shinobi ; ils sont réputés très exigeants quant au choix de leurs clients pour les passes, mais généreux quant aux boissons et à la simple compagnie. Lors des grands travaux d'aggrandissement du village, la chef de clan a décidé de monter s'installer dans la ville haute. A cause de leur activité secondaire, les membres de ce clan n'ont pas l'habitude de se marrier, même s'il existe des exceptions à cette règle. Leurs partenaires refusent le plus souvent de s'occuper de leurs enfants, qui reviennent parmi eux, et forment la nouvelle génération du clan.
Furumashita était la fille préférée de la onzième chef du clan Shigo, car malgré son insouciance dans sa jeunesse, elle a toujours été la plus intelligente des quatre filles de sa mère. L'année de ses dix-neuf ans, alors qu'elle s'apprêtait à devenir jônin, elle a rencontré Shikayukai Nara, un jônin de ving-et-un ans. Comme nombre de membres de sa famille, il était paresseux et enclin à la boisson. Il avait l'habitude de passer ses soirées dans les bars de la ville haute, avec des amis ; et c'est ainsi qu'un jour, il est entré dans la maison de thé des Shigo, où il a fait connaissance de Furumashita. L'alcool n'y était pas cher, les serveuses jolies et complaisantes, Shikayukai et ses amis sont devenus des habitués de l'endroit ; et naturellement, un jour, il est passé de la maison de thé à la maison close, et est devenu le client de Furumashita.
Leur relation a duré plusieurs mois, jusqu'à ce que Shikayukai finisse par cesser de venir la voir pour épouser une femme de meilleure réputation choisie par sa famille. Furumashita, au moment de son départ, se savait déjà enceinte et n'a pas jugé nécessaire de le prévenir. Elle a décidé de porter l'enfant qu'ils avaient conçu, et de l'élever comme membre du clan Shigo ; mais des bruits ont couru sur l'origine de son bébé, les clans de la ville basse ont eu vent de sa grossesse, et cela a fait un scandale, si bien que la famille de la femme de Shikayukai a failli l'obliger à le quitter. Furumashita, qui n'avait pour ainsi dire jamais mis les pieds dans les maisons de la ville basse, et n'avait jamais eu à suivre les règles en vigueur parmi les anciennes familles du village, a trouvé tout cela tellement ridicule qu'elle a nommé son fils déshonneur, pour plaisanter avec les autres Shigo sur toutes ces simagrées pour un enfant dont, de toute manière, les Nara n'auraient pas à se préoccuper.

Haji a passé ses premières années au sein du clan Shigo, se souciant davantage du menu de ses repas que de ses origines : dans la ville haute, les enfants "naturels" sont monnaie courante. Il présentait de bonnes dispositions au ninjutsu, et sa mère l'a envoyé à l'académie dès sa sixième année. Haji ne s'est pas vraiment plu là-bas ; les cours qu'on y donnait le passionnaient, mais les enfants des familles de la ville basse le regardaient avec au mieux de la curiosité et de l'incompréhension, au pire du mépris et du dégoût, et entendre pour la première fois les critiques acerbes qui circulent dans la ville basse sur sa famille et ses activités a été un choc pour lui. C'est à cette époque qu'il a pris, petit à petit, du recul vis-à-vis de ce qui l'entourait, d'abord pour se concentrer sur son apprentissage de shinobi, puis pour appliquer les méthodes d'observations qu'il avait apprises en classe et dans les livres à sa vie de tous les jours.
Le reste de son ascension dans la société des ninja s'est fait sans trop de heurts. Il a obtenu son diplôme à dix ans, avec des notes plutôt bonnes, même s'il n'était pas le premier de sa promotion ; il s'est intégré tant bien que mal dans son équipe d'aspirants - la solidarité n'a jamais été son fort - et à continué à suivre les leçons de son professeur, même si ce n'était plus le même qu'à l'académie, jusqu'à passer l'examen chuunin, à treize ans ; il a rempli ses missions en évitant autant que possible de s'attacher à qui que ce soit ou de s'attirer les foudres de sa hiérarchie, et a finalement été promu jônin à quinze ans et demi. Parallèlement, il a appris à maîtriser les techniques de sa famille, et, comme le veut la tradition des Shigo, a choisi son arme de prédilection pour l'animer lui-même : deux rouleaux faits de fils d'acier, aux bords tranchants, qu'il recouvre de papier et utilise également comme rouleaux d'invocation pour divers autres armes qu'il y a scellées.
Son détachement et son goût un peu trop prononcé pour les accessoires sinistres ne plaisent pas à ses collègues, parmi lesquels il n'a pas de réels amis, et qu'il juge trop brutaux ou ridiculement pinailleurs sur les questions de morale.


Dernière édition par Shigo Haji le Ven 10 Avr - 16:24, édité 2 fois
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Shigo Haji
Jônin
Shigo Haji


Masculin Nombre de messages : 7
Date d'inscription : 26/08/2007

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MessageSujet: Re: Haji Shigo   Haji Shigo Icon_minitimeJeu 29 Jan - 1:03

II Fiche Technique

Affinités :
Jûinjutsu
Ninjutsu -suiton et techniques d'ombres des Nara, même s'il n'a encore rien appris dans ces deux domaines.

Jûinjutsu

Nom de la technique :
Tama no dorobu no jutsu
Conditions d'utilisation :
Pour que ce sceau fonctionne, il faut que l'utilisateur ait tracé le dessin correspondant, dont le motif est gardé secret par le clan Shigo, sur sa main.
Et bien sûr, il faut disposer d'un animal vivant, dont on va prendre l'âme.
Effets :
Cette technique extrait l'âme d'un être vivant pour l'emprisonner temporairement dans un sceau tracé sur la paume de la main de celui qui l'utilise. Elle permet de la purifier par des moyens connus des seuls Shigo, et ensuite de l'invoquer dans un objet par le sceau tsukumogami.
Inconvénients :
Pour pouvoir prendre l'âme d'un être vivant, quel qu'il soit, il faut obtenir son consentement au moins passif, c'est à dire venir à bout de sa résistance pour qu'il cesse de vouloir rester dans son corps. Plus l'âme visée est complexe, plus c'est difficile, long et éprouvant.
L'âme telle quelle peut être scellée par le sceau tsukumogami, mais pour s'assurer de son obéissance, il est plus sûr de l'épurer en effaçant tous ses souvenirs affectifs, particulièrement ses éventuelles rancoeurs.
Les capacités de l'âme arrachée à son corps ne pourront pas être augmentées : sceller l'esprit d'un chien dans une poupée à forme humaine ne lui donnera pas l'intelligence d'un être humain.

Nom de la technique :
Tsukumogami no fuu
Conditions d'utilisation :
Pour utiliser cette technique, il faut posséder deux choses : une âme à sceller et un objet dans lequel la sceller (le nouveau "corps" de l'âme doit impérativement être inanimé).
Elle nécessite une préparation de l'objet dans lequel on va invoquer une âme - il faut y tracer divers sceaux suivant un procédé gardé secret par les Shigo.
Effets :
Cette technique scelle une âme dans un objet inanimé - elle ne fonctionne pas sur un être vivant. Une fois le sceau mis en place, le réceptacle doit être "chargé" en chakra, selon des proportions très précises d'énergies physique et spirituelle. Ce chakra sera utilisé à sa guise par l'âme placée dans le réceptacle, qui pourra mouvoir son corps, voire même le faire léviter - la lévitation consommant beaucoup plus de chakra. Plus on a mis de chakra dans le réceptacle, plus longtemps l'âme pourra bouger par elle même.
Chaque membre du clan Shigo a un sceau propre, et les proportions du chakra pour recharger les réceptacles varient en fonction de celui qui l'a animé ; il est toutefois possible, si on connaît les proportions exactes de chakra, d'utiliser, après entraînement, les armes d'un autre membre du clan.
Inconvénients :
Préparer le réceptacle peut prendre plusieurs heures - sans compter son éventuelle fabrication.
Pour que les objets puissent bouger, il faut les recharger en chakra.
Toutes les âmes n'obéissent pas. Il arrive que certaines fassent ce qui leur plaît, sans tenir compte des ordres de leur propriétaire.
Animer un objet n'est utile que si celui ci est adapté à cette utilisation - animer un kunai, par exemple, est d'une utilité relative, et ne suffira pas à battre un shinobi compétent.
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Yume
Genin / Admin chiante
Yume


Féminin Nombre de messages : 55
Date d'inscription : 09/07/2007

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MessageSujet: Re: Haji Shigo   Haji Shigo Icon_minitimeJeu 9 Juil - 15:28

Fiche validée, sujet verrouillé.
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MessageSujet: Re: Haji Shigo   Haji Shigo Icon_minitime

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